Un sommet arabo-islamique qui s’est tenu à Riyad pour discuter d’un cessez-le-feu dans la bande de Gaza et au Liban. Ce sommet, présidé par le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, a rassemblé des dirigeants de 57 pays arabes et islamiques.
Plusieurs points abordés
Les dirigeants présents ont appelé le Conseil de sécurité des Nations unies (CSNU) à adopter une résolution contraignante pour instaurer un cessez-le-feu à Gaza. Ils ont également exprimé leur soutien à la stabilité et à la souveraineté du Liban.
Le sommet a condamné les actions d’Israël dans la bande de Gaza, qualifiant la situation de “génocide” en cours. Les participants ont demandé une enquête indépendante sur les crimes de guerre présumés.
Les dirigeants ont souligné la nécessité d’un accès humanitaire sans entrave à Gaza, où les conditions de vie se détériorent rapidement, avec un manque crucial d’eau potable et de médicaments.
Ils ont également rejeté toute proposition de déplacement forcé des Palestiniens, affirmant que cela ne serait pas acceptable.
Faire pression sur la communauté internationale
Ce sommet représente une tentative significative des pays arabes et musulmans de s’unir face à la crise à Gaza et de faire pression sur la communauté internationale pour qu’elle prenne des mesures concrètes. Les discussions ont mis en lumière les préoccupations humanitaires et politiques liées au conflit en cours.